N’ayons aucun doute là-dessus : le travail, tel qu’on le connait aujourd’hui va disparaître. Faut-il s’en émouvoir ? Certes non. Si l’on s’en tient à l’étymologie du mot travail, instrument de supplice chez les romains et associé aux douleurs de l’enfantement chez les femmes, on ne peut que se réjouir de l’avènement possible d’une forme nouvelle d’activité libérée de la contrainte et de la domination et qui permettrait tout aussi bien qu’aujourd’hui de créer de la valeur et de la richesse et ferait sens pour chacun. Cette utopie est non seulement atteignable grâce à la numérisation et l’automatisation, mais déjà en œuvre. […]
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